Monday, September 11, 2006

 

Tuesday, August 08, 2006

 
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Saturday, June 24, 2006

 
sakina safadi l'un des fondeures de jil jilala .
Sakina Safadi : la première dame de la vague Nass El Ghiwane – Jil JilalaLe groupe Nass El Ghiwane, ses compagnons de route.Incontestablement, Sakina Safadi est l’une des figures les plus mémorables de la fameuse vague musicale populaire des Nass El Ghiwane et Jil Jilala. Tous les Marocains de la génération des années 70 se rappellent encore, non sans nostalgie, que cette femme avait été la toute première " dame " marocaine à s’investir dans ce mouvement qui , à l’aube des années 70, avait complètement bouleversé les données de la chanson marocaine. Aux côtés des disparus Boujmiâ, Larbi Batma, Mahmoud Saâdi et des survivants Omar Essayed, Allal Baâli, Moulay Tahar Esbahani, Moulay Abdellaziz Tahiri, Mohamed Derhem et Hamid Zoughi, Sakina Safadi a finalement toutes les qualités d’une artiste pionnière de cette vague qui, en son temps, avait totalement remis en question une chanson marocaine qui peinait encore à trouver ses marques. Tous les Marocains qui ont adopté cette chanson populaire et progressiste avaient apprécié le fait que ces hommes de théâtre formés à l’école de Tayeb Seddiki aient finalement choisi une dame de la trempe de Sakina Safadi pour mieux illustrer l’émancipation de la femme marocaine et sa capacité d’aller le plus loin possible dans ce genre musical tout a fait révolutionnaire. Mais avec le temps, les données vont changer. Abderrahmane Pako quittera les Jil Jilala pour Nass El Ghiwane, Moulay Abdellaziz Tahiri, après avoir été l’un des créateurs historiques de Nass El Ghiwane va être avec Moulay Tahar Esbahani et Mohamed Derhem l’un des principaux instigateurs de l’orchestre concurrent des Jil Jilala. Avec la différence qu’entre les uns et les autres, Sakina Safadi sera finalement la grande sacrifiée de l’opération. Avec un passé aussi prestigieux et un itinéraire qui lui avait permis d’être parmi les femmes les plus audacieuses qui avaient, entre autres, chanté la fameuse Laâyoune Ainia ( Laâyoune sont mes yeux) et effectué des périples historiques à travers les casernes et les campements des Forces armées Royales en pleine guerre du Sahara, Sakina était devenue un symbole. Jusqu’au jour où des événements extra artistiques vont la contraindre à un repos forcé !... Avec un mari malade et une situation familiale, on ne peut plus précaire, Sakina Safadi est aujourd’hui une artiste qui souffre le martyre. Aucune ressource financière stable et surtout aucune considération de la part de toute la classe culturelle, à l’exception de quelques initiatives isolées de certains plasticiens. À tel point que le destin de Sakina commence à faire dire à certains de ses semblables que " finalement, le qualificatif d’artiste rime parfaitement avec celui d’air triste ",. Une femme désabusée et constamment scandalisée par le sort que les temps nouveaux lui ont finalement réservés. Plus qu’un appel à la solidarité ou un acte de bienfaisance, c’est à un geste de considération que réclame cette femme qui traîne derrière elle près de quarante ans de travail et de présence effective sur scène mais qui n’a pas, hélas, l’air d’avoir été récompensée à sa juste valeur. Voilà un nouveau cas qui mérite une attention particulière de la part de tous ceux qui se disent au service de la promotion de l’image de marque des arts et des artistes marocains.

 
Les sept vies de Jil Jilala Après une longue traversée du désert, Jil Jilala, les idoles des seventies, semblent retrouver une nouvelle jeunesse. Preuve que ce groupe possède l’art de rebondir et de tenir tête aux coups du sort. Samedi dernier, à l’occasion de la fête de la musique, Nass Al Ghiwane mettent en transe la foule rassemblée sur la place Mohammed V, à Casablanca. Le lendemain, même lieu, même heure, c’est au tour de Jil Jilala de faire passer par le même état la même foule. Nass Al Ghiwane ou Jil Jilala en concert, ce n’est plus seulement de la musique. Ce n’est plus, non plus de la simple nostalgie. C’est un fait de société, un Mondial à part, quelque chose qui fait date. Contrairement à Lemchaheb, qui se sont très vite essoufflés, Jilala et Al Ghiwane, telle une machine qui s’emballe, fêtent, en gros, leurs 30 ans de scène. En un sens, ils rassurent. Ils assurent cette espèce de constance, presque réactionnaire qui, à l’instar de l’animateur Mostafa Alaoui ou du Raja et du Wydad, incarne une institution. Ce qui serait étonnant, c’est qu’ils prennent leur retraite. Ils sont les derniers. Les derniers à nous parler en direct des années 70. Le temps ne passe sur eux que physiquement : leurs états d’âme portent encore des pattes d’« ef » et oublient d’aller chez le coiffeur. Aux Jilala comme aux Ghiwane, nous ne demanderons au fond rien d’autre, en ces temps désenchantés, que de nous faire visiter les seventies.Une trajectoire accidentée A l’aube des seventies, cinq garçons dans le vent prennent d’assaut les scènes et les ondes. Ils s’appellent Nass Al Ghiwane et ils vont bouleverser radicalement le paysage musical, renvoyant au magasin des vieux accessoires la chanson fleur bleue. Dans la brèche ainsi ouverte, s’engouffrent quelque 2 500 formations. La vague, quand elle se retirera, emportera peu à peu la quasi-totalité des gloires éphémères. Aujourd’hui, seuls surnagent, avec Nass Al Ghiwane bien sûr, Jil Jilala. Non sans mal. Car loin d’être rectiligne, leur trajectoire est plutôt accidentée. Elle ressemble à une dramatique fertile en coups de théâtre et en fausses sorties. Reconstitution. En 1972, six kids, dont la moyenne d’âge est de vingt ans, choisissent de former un groupe musical. Ils ont pour noms Hamid Zoughi, Mohamed Saâdi, Mohamed Darham, Moulay Tahar Asbahani, Sakina Safadi, Abderrahman Paca. Ils sont unis par leur expérience antérieure des planches et leur ferme volonté de dégommer la chanson conventionnelle. Une entreprise qui s’amorce dans l’inconscience artistique totale, compte tenu du fait qu’à l’exception de Mahmoud Saâdi aucun membre du groupe n’est pourvu d’un soupçon de savoir musical. Mais l’époque sourit aux inconscients. Et voilà nos six corsaires embarqués dans la galère. Auparavant, ils se dotent d’un nom de baptême : Jil Jilala, en hommage au saint de Bagdad, Abdelkader Jilali, dont les zawyas jouent uniment un rôle spirituel et un rôle de rébellion contre l’oppression et l’injustice. Le groupe est né le 28 septembre 1972. Le 7 octobre 1972, Jil Jilala effectuent leur premier passage à la télévision. Les téléspectateurs sont d’abord déconcertés par le rythme inhabituel. Mais dans le rythme se nichent les mots. Ces mots dansent et il faut faire l’effort de les entendre, d’aller par-delà l’apparence. Et comme ils sont portés par des voix exceptionnelles, celles de Darham, de Moulay Tahar et de Sakina, le charme opère insidieusement. Les téléspectateurs sont conquis. La presse tressera des couronnes à ces amoureux des mots et de la rime, dont un des mérites, et il n’est pas moindre, est d’avoir revivifié une langue en voie - en voix - de nécrose : l’arabo-marocain. Jil Jilala en font le vecteur de leurs messages. « Ces onomatopées placées sur un rythme parfois obsessionnel, ces incantations ne me laissent pas indifférent. Le message est là. L’essentiel est qu’il doit passer. C’est ce qui me semble être le plus important, car Jil Jilala s’adressent n

 
للحصل على صور جيل حلالة :http://jil-jilala1.blogspot.com/

Friday, June 23, 2006

 

 
مولاي عبد ا لعزيز الطاهري لـ «الأحداث المغربية» المهمة التي أتت من أجلها ناس الغيوان انتهت
الاحد 11 يونيو 2006
كان شاهدا ومساهما في تأسيس أشهر فرقة في تاريخ المغرب لعربي "ناس الغيوان". صداقته مع بوجميع كانت بلا حدود، لكنه سيغادر ناس الغيوان سنة 1974 ليلتحق بجيل جيلالة، دون أن يغادر "بحر الغيوان"، وبقي حلم مسرحية تحمل هذا الإسم قائما، بل كان يحلم رفقة بوجميع بإنشاء فرقة ناس الغيوان قبل أن يختطف الموت بوجميع ومعه هذه الأحلام. كتب أجمل أغاني مجموعتي ناس الغيوان وجيل جيلالة وأحمد السنوسي ونجاة عتابو ومؤخرا فهيد، لكن تواضعه يمنعه من قول ذلك، ذلك أن العمل في حينه كان ينسب للمجموعة وليس للفرد، مسرحي. ورجل يعشق الملحون بكل جنون، إنه مولاي عبد العزيز الطاهري.
› لماذا زواجت دوما ما بين المسرح والغناء؟ ›› كنت دوما أدخل الغناء في الأعمال المسرحية، وهذه عادة حرصت عليها دوما في أعمالي، ففي راس الخيط كانت هناك ثلاث أغان في المسرحية، وفي التكعكيعة كانت هناك أغان رددتها فرقة ناس الغيوان من بعد مثل "أدانداني" "كفاك لبكا ياعينيي" الماضي فات" وهذه تجربة سابقة على ناس الغيوان، واعتبرت الأغاني من ريبرطوار ناس الغيوان وعمل جماعي ولم نستطع أن نصرح بأن هذا هو من كتب هذا العمل أو ذاك، لأننا اتفقنا أن يكون العمل جماعيا منذ البداية، لكن المقربين يعرفون من يكتب، فإن كان "فلان" غير مشهور بالغناء " اش كاعد تيدير"! كما أن نشاطه ولغته وأعماله مع الآخرين تبين نوعية اسهامه في ناس الغيوان، كذلك الأعمال التي أقوم بها مع فكاهيين معينين، ولا أرغب بذكر أية أسماء، فمعروف علي أنني أتعامل مع فكاهيين مرموقين، على مستوى النص والأغنية لا سيما في السلسلات التي تمر في التلفزيون، فجل السلسلات التي مرت في شهر رمضان كنت أنا من وضع لها الجنريك. › انتقلت من الغيوان الى جيل جيلالة، لماذا؟ ›› يجب ان لا ننسى أن التجربة كانت مفتوحة على الجميع في البداية، فمثلا مولاي الطاهر مثلا أومحمد الدرهم كان بامكانهما المشاركة فيها، لكن الدرهم كان يشتغل بفاس كاطار مهندس باحدى معامل" التكستيل" ومولاي الطاهر اجتذبه الطيب الصديقي كي يشتغل معه في أعمال فنية مسرحية مما حال دون تحقق الانطلاقة كالجميع، كذلك حميد الزوغي كانت بدايته مع ناس الغيوان، في اطار مسرح "الكافي تياتر"، لكن بعض القلاقل حالت دون ان يكون معنا في الإنطلاقة، كذلك محمود السعدي، الذي كان يشكل عنصرا أساسيا كعازف داخل فرقة جيل جلالة، وبدأ مع ناس الغيوان لكن ارتباطه بعمله في "وزين اتاي" جعل علال يحل محله بعد ستة اشهر. أما أنا فانتقالي كان في سياق معين وكأنه قدر خول لي ممارسة التجربة مع ناس الغيوان، وكنت عاشقا كبيرا لصوت بوجميع وصوت العربي باطما، وكنت أتمنى أن لا ننحصر في خمسة أشخاص، كنت احب العدد الكثير وكنت اعزف السنتير، والإخوان يغنون، لكنني كنت مولوعا بترديد المونولوغات، وتعجبني الحركة، فأنا صراحة لم أنتقل، بل كانت تجربة أخرى مع جيل جيلالة، كان ذلك في 1974، وكانت ظروف وجدت نفسي فيها مع فرقة جيل جيلالة بأشكال فنية أخرى، وأنماط غنائية أخرى واستطعت أن أحقق معهم التجربة الأكيدة والتي كانت هامة في حياتي أي تجربة الملحون مع جيل جيلالة. › هل كان هناك تنافس بين الفرق على استقطاب الفنانين؟ ›› بالعكس كنا اصدقاء، وحين كنت في الجزائر مع مجموعة جيل جيلالة، كنت أنا وبوجميع بصدد تجميع الفرقتين معا، والدخول في تجربة مسرحية بعنوان مسرح الغيوان. لم تكن حياتنا تتمحور حول التقوقع في خانة خمسة أشخاص فقط. › ما رأيك في فرقة ناس الغيوان اليوم؟ ›› ما سأقوله هو رأي شخصي أتحمل فيه مسؤوليتي، إن تجربة ناس الغيوان، استوفت عمرها الافتراضي، مدة عشر سنوات، وأدت مهمتها التاريخية، كانت مهمة صعبة والمغامرة نجحت كثيرا، وكان لها استجابة من طرف الشباب، لدرجة أن كل حومة انشأت فرقة خاصة بها، فالاهتمام بالاصالة والرجوع للآلات القديمة، يمكننا القول أن شرارته الأولى جاءت من ناس الغيوان، ولهذا حتى على مستوى الخطاب، قلنا كل ما كنا نعانيه واستغلينا كل الأنماط الغنائية والرمزية والدلالة لنقول ما كان ينبغي قوله. كنا في وسط مغرب السبعينات، وعبرنا عنه، والمهمة التي أتينا من أجلها انتهت بانتهاء الأشكال التي صرحنا بها وقلناها. كانت أغراضنا محددة وفق توجه معين، وبعد عشرة سنوات لم يعد هناك سوى التكرار، وكان هناك تقصير خاصة مع وفاة الرواد، وسنة بعد سنة، لاحظنا استمرارية نوسطالجية للماضي، والإخوان يكتفون اليوم بترديد الأغاني القديمة لكنها أيضا مسألة محمودة! › هل ما تزال لك علاقة تعاون مع اعضاء ناس الغيوان الحاليين، ولماذا لا تتعامل معهم؟ ›› هذا السؤال قد يحرجني، شخصيا أعتبر أن من بقي اليوم من ناس الغيوان وحتى باقي المجموعات الفنية الأخرى، أصدقاء، وكان بيننا خلاف بسيط وهو أنني لا أعمل مع فرقة وفي نفس الوقت أعمل مع فرقة أخرى، وبدأت أفهم على أن التعاون الذي يمكن أن يكون بيننا والذي لن يحرجني أن يسهر كل واحد منا على مسيرته الخاصة، فمثلا لو طلب مني أحدهم التعاون في مجال ما سأوافق ويمكنني أن أفعل ذلك. › كيف تنظر لمسألة الدعم المسرحي؟ ›› أريد أن يكون هناك مسرح حر، ويكون لديه اعتماد رسمي قانوني، لا أن تأتي وزارة وتقدم للمسرح دعما، لكن يمكن أن يأتي وزير آخر في حكومة جديدة ويقول لنا أنا لا أريد أن أقدم دعما لأنني سأبني المؤسسات والفضاءات، وأتمنى أن تكون هناك ميزانية خاصة بالمسرح، لأن الثقافة والفن هو سلاح في حد ذاته. › ما هي احـــلامــــك الــــيوم بعد كل هذه المسيرة؟ ›› أنا مهووس بالمسرح، وأغنية المجموعات خرجت من رحم المسرح، ودوما كان حلمي أن تكون عندي فرقة اسمها فرقة الطاهري للغناء والمسرح، وهذه أشياء في الطريق وتتبلور، ومن أجلها كتبت عملا مسرحيا عبارة عن مسرحية غنائية كوميدية إسمها "مراح السلوان" وكذلك كتبت مسلسل عن الشيخ سيد ي محمد بنسليمان صاحب "الورد" و"الرعدة" و" الزين الفاسي"، مسلسل من خلال شعره مرتبط بانشاد الملحون. › ما هي مشاريعك المستقبلية؟ ›› إنها مفتوحة على مجموعة أعمال سواء في السينما كالموسيقى لبعض الأفلام، وجنيريكات مستقبلية بالنسبة لرمضان، والعمل المسرحي الذي تحدث عنه، وأعمال سأفصح عليها قريبا مع التلفزيون المغربي، في إطار الموسيقى الأصيلة المغربية. حاورته ليلى بارع
الاحدات المغربية

Wednesday, June 14, 2006

 

JIL JILALA
جيل جلالة المجموعة التي اثرت الساحة الفنية المغربية
بكلامها و الحانها الني بقيت لحد الان تارخية ك العيون عنية و جنود الصحرا لحرار

Sunday, May 21, 2006

 


jil jilala la clique marocainne qui restera laplus sélébre acoté de nass el ghiwan

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